Il sous-entend que les messageries WhatsApp, Signal ou Telegram auraient pu servir à la préparation de l’attaque. Sans jamais étayer son hypothèse, Darmanin surfe surtout sur sa logique autoritaire : « si c’est confidentiel, c’est suspect », il faudrait donc y avoir accès.
Selon lui, c'est le droit français qui empêcherait que les entreprises donnent accès aux conversations. Or, ce n'est pas tant la loi qu'une impossibilité technique : le chiffrement de bout-en-bout est conçu pour que les entreprises elles-mêmes n'aient pas accès aux messages.