En l’état, pour contourner le chiffrement, les services peuvent déjà installer des logiciels espions (« spyware »), soit à distance soit en s’introduisant chez les personnes pour le faire directement. Cela leur permet d'avoir un accès à l'activité du périphérique, et donc à son contenu.
En 2022, la CNCTR qui est censée contrôler l'activité des services de renseignement a rendu 3767 avis autorisant l’introduction d'agents dans des lieux privés et 4260 avis sur la captation de données, qui incluent les spywares.