Selon lui, c'est le droit français qui empêcherait que les entreprises donnent accès aux conversations. Or, ce n'est pas tant la loi qu'une impossibilité technique : le chiffrement de bout-en-bout est conçu pour que les entreprises elles-mêmes n'aient pas accès aux messages.
Introduire un accès, une « backdoor », affaiblirait le niveau de protection de l'ensemble des communications.
Le chiffrement est une mesure de sécurité, le casser rendrait le monde numérique vulnérable et personne n’y a intérêt.