Histoire de mettre en pespective, je rappelle que la justice peut exiger d'un GAFAM les données qu'il détient d'un utilisateur.
Maintenant imaginez le RN au pouvoir.
Et si vous dites que vous n'avez rien à vous reprocher, dites-vous que les femmes qui visitaient une clinique d'avortement n'avaient rien à se reprocher non plus jusqu'à ce qu'elles soient attaquées en justice par un état américain grâce aux données fournies par Google et autres databrokers.
@sebsauvage Ou juste la photo d’un nourrisson malade envoyé au médecin, photo classée comme pédopornographie par Google avec toutes les emmerdes qui suivent. Idem, rien à reprocher.